mardi 8 mai 2012

Max Ernst – Fleurs de coquillages – 1929

Je suis heureuse, tu es mienne Je suis contente, tu es mienne Je suis la meilleure, tu es mienne Milles larmes humides glissent sur ton visage. Tu es une beauté émue par cette vérité sûre. Ton fard ardu brûle le foulard de tes sentiments. Ha ! J’aime mieux ça : Je vais partir, mais toi, tu reste ma fleur.

Marilou Debouche

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