jeudi 10 mai 2012

Judith Reigl - flambeau de noces chimiques - 1954

Quand je t’ai vu pour la première fois, avec tes nuances de couleurs élégantes, c’était au mois d’août au bord de l’eau. Tes couleurs colorées me rappellent les mois chauds de l’époque ainsi que les gouttes qui tombent dans cette eau impure, et la rend trouble. Avec ce caractère, tu laisses venir tes couleurs à nos yeux encore si jeunes, si fragiles et remplis de rêves de la vie qui nous sourit. Tu nous fais découvrir la vie autrement, on est si capricieux et si curieux de savoir la vie qu’on va avoir. Mais dans toute ta beauté, tu es juste ce tableau…

Louise Capelle

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