mercredi 30 mai 2012

Jesùs Rafael Soto – Gran doble escritura – 1977

Mon tableau est porté par une imprécision tellement forte, comme un os. Ce travail se rend attractif d’un bon sujet positif. Cette œuvre donne aussi quelque chose de malheureux, mais aussi quelque chose d’heureux tout comme ces petits lépreux… Ce blanc et ce noir rendent encore plus bizarre comme ce lézard venant de saint-Lazare. Ces formes se coupant et se découpant en envoyant quelque chose d’attirant, avec ces lignes verticales qui ne cessent de faire mal, son isolement harmonisant la beauté et la méchanceté. Nous rappelant gentiment que la beauté reste une sobriété.

Grégoire Jacques

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