J’ai perdu la tête dans ce pays merveilleux… celui où tu m’emmenais. Ce rêve que tu me faisais vivre et revivre. Ce rêve magnifique où l’on faisait de milliers de choses. Mais aujourd’hui tu as décidé que je devais y aller seule, pourtant, je n’en ai pas envie. Je t’obéis et en passant par ce ruisseau, je cueille des fleurs que je t’offrirai par la suite… si je te revois. Après, je suis obligée de passer par cette mer rouge puis je m’arrête pour boire à ce lac où je me sens observée. Je me suis battue pour toi mais tu ne comprends pas ce que je ressens. Cette envie de te retrouver, cette envie de… Tu ne comprends pas que j’ai besoin de te parler ! Je crois… je crois que j’ai peur.
Apelle-moi vite, ce rêve devient un cauchemar.
Pauline Harrak.
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