Tu aimais bien regarder les oiseaux
Souvent tu te demandais comment ils pouvaient s'envoler
Tu aimais lire les histoires qui faisaient peur
Car la plupart du temps elles te faisaient sursauter
Tu aimais le sucre qu'on étalait sur les crêpes
Les matins d'été
Souvent tu te demandais comment ils pouvaient s'envoler
Tu aimais lire les histoires qui faisaient peur
Car la plupart du temps elles te faisaient sursauter
Tu aimais le sucre qu'on étalait sur les crêpes
Les matins d'été
Mais le temps est passé et tu a grandi
Oubliant toutes tes rêves d'enfant
A jamais dans les aiguilles du tourment
Mais jamais tu n’as oublié
Que ton cœur battait pour lui
Que jamais tes sentiments ne t'avaient trahi
Que le sucre ou les oiseaux
Étaient bien petits devant tout ça
Et qu'à jamais de lui tu te souviendras
Le temps n'est pas assassin, il ne fait qu'effacer Que jamais tes sentiments ne t'avaient trahi
Que le sucre ou les oiseaux
Étaient bien petits devant tout ça
Et qu'à jamais de lui tu te souviendras
Les blessures que rien ne peut soigner
Et il t'effacera dans des traits noirs
Car en fin de compte :
Qu’y a-t-il à voir ?
Antoine
Dehez
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